Inspiré de la théorie de Bruno Latour et des rituels des Aborigènes, on remet en question le rapport entre les humains et les objets. Pouvons-nous parler au nom des objets ? Ou est-il pensable qu’une autre relation s’établisse, dans laquelle nous abandonnerions le point de vue anthropocentriste pour considérer l’avenir à partir de la perspective des objets ?