Trois événements autour d’une justice « multi-espèces »
La série de rencontres plus qu’humaines, More-Than-Human Encounters, tente de situer les relations entre humain·e·s et plus qu’humain·es, ainsi que les conditions de liberté et de coexistence dans un monde défini par l’impérialisme, le patriarcat et le capitalisme. Quelles structures juridiques sont nécessaires pour consolider la position de non-humain·e·s dans une conception anthropocentrique du monde ? Comment peut-on éviter la stigmatisation de corps et d’esprits qui ne répondent pas aux normes ? Et qu’en est-il de l’autorité d’autres éléments naturels ? Ou de fact...
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Trois événements autour d’une justice « multi-espèces »
La série de rencontres plus qu’humaines, More-Than-Human Encounters, tente de situer les relations entre humain·e·s et plus qu’humain·es, ainsi que les conditions de liberté et de coexistence dans un monde défini par l’impérialisme, le patriarcat et le capitalisme. Quelles structures juridiques sont nécessaires pour consolider la position de non-humain·e·s dans une conception anthropocentrique du monde ? Comment peut-on éviter la stigmatisation de corps et d’esprits qui ne répondent pas aux normes ? Et qu’en est-il de l’autorité d’autres éléments naturels ? Ou de facteurs numériques ? Comment accroître la conscience qu’un avenir émancipateur pour tous les opprimés n’est pas une menace, mais l’indispensable moteur multidimensionnel du changement.
Dans le deuxième épisode de la série de rencontres plus qu’humaines, nous invitons des chercheur·se·s, des activistes et des artistes à un programme de trois jours lors duquel ils et elles exploreront le potentiel de justice et d’équité d’un monde post-impérialiste composé de plusieurs espèces. Faut-il accorder des droits aux animaux et aux formations naturelles – comme les lacs, les mers, des forêts vierges et les sols ? Comment la lutte décoloniale mondiale se rapporte-t-elle aux combats mondiaux et locaux pour la vie, la sécurité et l’autonomie des animaux non humains ?
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